Les trois nouveaux projets qui seront accompagnés par le dispositif La Passerelle jusqu’en septembre 2022 sont Cent ans de sororité de Maya Perusin-Mysorekar, La plus haute des solitudes de Ninon Lacroix et Tes premiers mots de Surya Natarajan.
Félicitations à Maya, Ninon et Surya et merci aux candidat.e.s qui ont déposé leur projet !

Cent ans de sororité de Maya Perusin-Mysorekar

Trois générations de femmes juives racontent l’amitié, l’amour queer et la migration. Comment la (sur)vie d’une famille incarne l’histoire allemande et son existence symbolise une résistance.


La plus haute des solitudes de Ninon Lacroix

Dans le vide de la ville, l’été s’installe. Au centre de loisir les amitiés se font et se défont et tandis que les corps s’agrègent se cherchent et se rejettent, les histoires fictives ordonnent le réel. Les premiers émois, dont certains ne se souviennent plus et que d’autres n’appellent pas comme ça, deviennent peu à peu un sujet de discussion. Il y a des hommes qui auraient été amoureux s’ils n’avaient jamais entendu parler de l’amour.

La plus haute des solitudes est un film qui interroge le discours amoureux des garçons en partant de sa construction dans l’enfance.


Tes premiers mots de Surya Natarajan

Tu ne sais pas lire,
Tu ne sais pas écrire,
Et tu ne veux pas non plus nous le dire.

Une femme s’efface derrière sa famille et son existence. Le temps passe et ses souvenirs s’estompent. Les souvenirs à moitié partagés, les mots à moitié trouvés s’entassent et tourmentent un fils qui a peur de ne jamais connaître sa mère.







Cent ans de sororité de Maya Perusin-Mysorekar
La plus haute des solitudes de Ninon Lacroix
Tes premiers mots de Surya Natarajan