Panamarenko : portrait en son absence

Claudio Pazienza

1997, 27 min. France, Belgique

Synopsis

À la fois évidente et complexe, ramifiée, multiple, ironique… l’œuvre de l’artiste anversois Panamarenko semble faire – depuis une trentaine d’années – la joie des grands et des petits. Mais qu’on se détrompe : malgré son apparente lisibilité, elle demeure inclassable et joyeusement iconoclaste. Elle ne peut donc se résumer à une illustration du mythe d’Icare, ni à la volonté de bricoler appareils et machines capables de se mouvoir – avec ou sans la force de l’homme – sur terre comme sous l’eau – pour étonner chameaux et poissons. Non, l’ensemble des objets de Panamarenko pose sans cesse la question des limites, des frontières, des « passages ». Passages de la contemplation à l’acte, de la matière à la forme, de l’art à la science (et vice versa). Il s’agit d’une perpétuelle « invitation à… ».

Production

Qwazi Qwazi Film, coproduction Heure d’été Productions, Image Création.com

Image

Jean-Marc Vervoort

Son

Pierre Mertens

Montage

Philippe Boucq

Participation

CNC, DAP (Délégation aux Arts Plastiques)