Sans retour

Synopsis

Le 28 août 1951, une famille de 6 personnes arrive à l’aéroport de Toronto : les parents et les enfants qui descendent sur le tarmac ont des passeports d’apatrides. Le père Ewald, 48 ans, est polonais. La mère Loren, 28 ans, est suisse. Les quatre enfants – Marcy 8 ans, Marylin 5 ans, Maureen 2 ans et Mac 1 an – sont inscrits sur le

passeport de leurs parents. Plus de cinquante ans plus tard que sont devenus les enfants du vol 502 pour Toronto ?

C’est la question que se pose le film au travers des portraits croisés des 6 enfants (Ils sont 6 maintenant, 2 sont nés au Canada) et de leur mère (le père Ewald est mort) de cette famille d’émigrants. À travers le portrait de cette famille d’immigrants, les questions de la mémoire, du passé et de l’émigration dans l’Amérique des années 50 sont vues au travers des portraits croisés des 6 enfants (Ils sont 6 maintenant, 2 sont nés au Canada) et de leur mère (le père Ewald est mort) de cette famille d’émigrants. À travers le portrait de cette famille d’immigrants, les questions de la mémoire, du passé et de l’émigration dans l’Amérique des années 50 sont vues au travers du filtre de mon regard curieux, nostalgique et amusé sur cette famille qui est aussi la mienne. Mari de Maureen et père de Justine, je regarde, je filme, je réfléchis.